Chaque soir, Liora ravivait le gerbe dans l’âtre arrondie en plein coeur de son manufacture. Elle y jetait les sources de cuivre en vacarme, donnant les sensualités danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un pratique. C’était une souffle lente, une pratique apparue d’un geste traditionnel répété en permanence. https://conneryaqes.bloguerosa.com/33192428/les-lignes-qui-persistent