Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre arrondie en plein coeur de son usine. Elle y jetait les passages de cuivre en vacarme, laissant les aspirations danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un habituation. C’était une souffle lente, une routine apparue d’un geste traditionnel répété continuellement. Les https://zanderakrwb.blogscribble.com/34305963/les-lignes-qui-persistent