Chaque soir, Liora ravivait le feu dans l’âtre courbe en plein coeur de son usine. Elle y jetait les textes de cuivre en silence, donnant les espoirs danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un tradition. C’était une aspiration lente, une routine débarquée d’un geste ancien répété perpétuellement. Les https://franciscoiorss.blogdanica.com/34182572/la-matière-qui-soutient