Chaque soir, Liora ravivait le pyrotechnie dans l’âtre courbe au milieu de son usine. Elle y jetait les documents de cuivre en silence, laissant les feux danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un routine. C’était une respiration lente, une tradition née d’un acte familial répété perpétuellement. Les morceaux, https://kameronktxzy.blogrenanda.com/40542449/le-feu-des-contours